Le Département d’Ethnologie

Le Département d’Ethnologie

Le Département d’Ethnologie a été forme lors de la fondation du Musée en 1933. La base de la collection est faite des objets en don des membres de l’Association des amis du musée. Jusqu’à la guerre en 1941, celui-ci fut dirigé par des enthousiastes – des adeptes de la création et de l’histoire populaire avec Aleksandar Nenadović et Borivoje Gojković en tête, des fins connaisseurs du passé et de la culture de Niš. Grâce à leur travail dévoué, les collections furent rapidement remplies, de fait qu’à l’aube de la Deuxième Guerre Mondiale celles-ci furent une de plus riches en Serbie par leurs nombres et diversités d’objets. Dans le bombardement allies de Niš en 1944, le bâtiment du Musée (la maison de Chrystodoulos) a éprouvée et dans les ruines a disparu un grand nombre d’objets du département et du Musée.

Dans la période après-guerre, le département est mené par des curateurs ethnologues formés. Ils travaillèrent rapidement sur la consolidation des collections et leurs complétions. Ils allaient chaque jour sur le terrain et les objets étaient procurés par dons et rachats. Les objets étaient examinés et présentés avec respect des principes muséologique de leur temps. Aujourd’hui, le département ethnologique possède plus de 5.500 objets catégorisés par collections (un total de 17 collections) dont les plus nombreuses sont dans les collections des costumes folkloriques, des bijoux et des objets ménagers en bois et métal. Les plus grandes collections, par leur valeur et nombre d’article, ne traine pas derrière les institutions nationales éminentes pour la protection du patrimoine culturel. Celles-ci sont les collections de costumes folkloriques (ruraux, urbains) avec des collections de chemises, de gants, longs gilets, robes sans manches, de chapeaux, etc ; des bijoux avec des collections de bagues, de ceintures, de bracelets, boucles d’oreilles, de colliers, d’ornement de chapeaux, de kilims de Pirot, de céramique folklorique avec des collections de céramique de Pirot et Grkinje ; des objets ménagers en métal et de la vaisselle avec des collections d’objets ménagers ruraux et urbains, où une valeur spéciale ont divers ustensiles en cuivre, fer et maillechort de la fin du XIX siècle et début du XX siècle; des objets et de la vaisselle en bois, avec des collection de meubles ruraux, urbains and de style, ou se distingue les coffres pour les dotes de filles, cuvette, des panier en osier, les garnitures de salon Louis XIV, la chambre bosniaque; des articles en textile ; des métiers (chaudronnier, argentier, forgeron, maréchal-ferrant, tisseur, maroquinier, tailleur et autres); d’armes (couteaux, yatagans, sabres, pistolets, fusils à platine à silex) ; photographies de la fin du XIX siècle et du début du XX siècle ; des instruments musicaux avec des collections de flûtes, cornemuse, gusle; des kits pour fumer avec des pipes en céramique et en bois, porte-cigarettes et fume-cigarettes.

Les curateurs du département collectent, étudient et avalisent en permanence, depuis la fondation du Musée, le patrimoine immatériel propre à la vie folklorique, au logement, a l’économie, aux coutumes, a la religion, aux croyances, aux superstitions, aux poèmes, aux danses et contes de l’espace de Nichava, Svrljig et Zaplanje, et publient les résultats de travail dans le Recueil du Musée et autres publications et magazines scientifiques.

La coopération avec les associations culturo-artistique et les groupes d’art d’origine est une partie constituante du travail des curateurs. Avec leurs expertises, ils aident pour le choix des coutumes, de la musique d’origine et des costumes et façon de la porter. Chez les coutumes, on insiste à leur source, attractivité et façon de présentation.

Le département ethnologique est aujourd’hui avec ses nombreuses collections, expositions, travaux de recherche et autre activité à dépasser le cadre d’un musée complexe. Il mérite que son travail au futur se fasse dans un musée ethnologique à part qui, par son travail et engagement, influencerait directement sur la préservation plus forte du patrimoine culturel matériel et immatériel, du mode de vie folklorique et des traditions de Niš et des environs. A la collection ethnologique permanente seraient montrés au public et au monde entier les créations folkloriques, les coutumes et la tradition de Niš et de ses alentours en convivialité dans ces régions.

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